Dans les 6 mois à venir, huit villes du Puy-de-Dôme devraient voir
disparaître leur permanence de la Caisse d'Allocations Familiales. En
cause, la baisse des effectifs de la CAF et une augmentation de la
charge de travail.
Toutes prestations confondues, la Caisse d'Allocations Familiales du Puy-de-Dôme compte 115 000 allocataires et une soixantaine de points d'accueil dont 16 permanences.
Et ce sont ces permanences qui sont
menacées de fermeture dans les 6 mois à venir. 8 figurent sur la liste,
dont 5 sur le grand Clermont : Aubière, Lezoux, Les Martres de Veyre,
Pont-du-Château et Romagnat. Pour elles, la fermeture semble
irrévocable. Pour les 3 autres : Billom, Maringues et
Saint-Georges-de-Mons, rien n'est encore totalement joué.
Baisse des effectifs et accroissement de la charge de travail
Pour la direction de la CAF 63, ces fermetures sont liées à une augmentation de la charge de travail. Plus 13% environ depuis juillet 2009, notamment avec l'explosion du RSA. En cause également, la baisse des effectifs de la CAF. Les agents d'accueil devant aussi traiter les dossiers, il a fallu trancher. Priorité a été donnée au traitement des dossiers, au détriment de certaines permanences.
Les élus des 8 communes concernées sont révoltés. Ils dénoncent la disparition d'un service public assorti d'un préjudice certain pour les allocataires. Des allocataires qui, courant 2013, devront donc se rendre au siège à Clermont-Ferrand, ou bien dans les antennes de Riom, Thiers ou Issoire s'ils veulent rencontrer un employé de la CAF et lui exposer leurs problèmes.
Baisse des effectifs et accroissement de la charge de travail
Pour la direction de la CAF 63, ces fermetures sont liées à une augmentation de la charge de travail. Plus 13% environ depuis juillet 2009, notamment avec l'explosion du RSA. En cause également, la baisse des effectifs de la CAF. Les agents d'accueil devant aussi traiter les dossiers, il a fallu trancher. Priorité a été donnée au traitement des dossiers, au détriment de certaines permanences.
Les élus des 8 communes concernées sont révoltés. Ils dénoncent la disparition d'un service public assorti d'un préjudice certain pour les allocataires. Des allocataires qui, courant 2013, devront donc se rendre au siège à Clermont-Ferrand, ou bien dans les antennes de Riom, Thiers ou Issoire s'ils veulent rencontrer un employé de la CAF et lui exposer leurs problèmes.
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