Depuis le 1er novembre, les CAF d'Arras et de Calais sont réunies au
sein d'une même entité : la CAF du Pas-de-Calais. Un changement dans
l'organisation de la caisse mais qui n'aura pas d'incidence notable
auprès des allocataires.
Tout un symbole. Pour leur dernière réunion, les conseils
d'administration des CAF de Calais et d'Arras avaient choisi de se
retrouver vendredi 28 octobre à Ecquedecques, à côté de Lillers, une
commune située à mi-chemin entre les deux villes du département. Dans le
cadre d'un projet de départementalisation, les deux entités sont
réunies en une seule pour former depuis le 1 er novembre la CAF du
Pas-de-Calais.
Quatre ans auront été nécessaires aux deux caisses pour fusionner. « Notre plus gros travail aura été l'harmonisation de la politique d'action sociale des deux caisses. Nous avions deux politiques efficaces mais pourtant différentes qu'il a fallu faire converger en une seule », explique Jean-Claude Dissaux, président de la CAF de Calais.
Jacques Boulnois, le directeur, entouré
d'André
Rambert, président de la CAF d'Arras
et de Jean-Claude Dissaux,
président de la CAF de Calais.
Encore mieux répondre aux attentes
Objectif affiché : poursuivre les actions menées et essayer de répondre
encore plus aux attentes des allocataires. « La proximité avec les
allocataires reste la règle, c'est pour cela que même si désormais le
siège est basé uniquement à Arras, la CAF de Calais fonctionnera de la
même façon qu'auparavant », précise Jacques Boulnois le directeur de la
CAF du Pas-de-Calais.
Pas de changement notable pour les allocataires donc et pas de changement non plus pour les employés puisque cette fusion n'entraîne aucune suppression de postes, juste un changement d'organigramme. « Nous gardons les mêmes moyens, humains et financiers pour continuer sur notre lancée et faire encore mieux au sein de la caisse départementale », affirme Jacques Boulnois.
D'après la dernière enquête de satisfaction, 96 % des allocataires du Pas-de-Calais sont satisfaits de la qualité de service. Un chiffre au-dessus de la moyenne nationale que les responsables espèrent maintenir.
Source : L'Echo de la Lys - Marie Jourdain - jeudi 03 novembre 2011
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